Page updated 24 September
1970
AXEL, Brigitte, H, Paris: Flammarion, 1970, 257 pp.
FILLIOZAT, Jean, Les Philosophies de l’Inde, Paris: Presses universitaires de France, 1970, 127 pp.
TOURNAIRE, Hélène, Poivre vert, l’Inde aux rayons X, Paris: Presses Pocket, 1970, 253 pp.
1971
[no author], Karikal, 2 vols, Pondicherry: Institut français d’indologie and Paris: Maisonneuve, 1971, 422 pp.
BIES, Jean, Romain Rolland et l’Inde, [n.p.]: [n. pub.], 1971, 93 pp.
DANIELOU, Alain and Jacques BRUNET, La Musique et sa communication: la situation de la musique et des musiciens dans les pays d’Orient, Florence: Olschki, 1971, 124 pp.
DANIELOU, Alain, Histoire de l’Inde…, Paris: Fayard, 1971, 383 pp.
DELOCHE, Jean (ed.), Voyage en Inde du comte de Modave, 1773-1776: nouveaux mémoires sur l’état actuel du Bengale et de l’Indoustan, Paris: Ecole française d’Extrême-Orient, 1971, 595 pp.
DUCHAUSSOIS, Charles, Flash ou le grand voyage, Paris: Fayard, 1971, 430 pp.
SATPREM, pseud. (ENGINGER, Bernard), La Genèse du surhomme, Pondicherry: Sri Aurobindo Ashram, 1971, 258 pp.
THIEULOY, Jacques, L’Inde des grands chemins, Paris: Gallimard, 1971, 355 pp.
VILLIERS, Gérard de, S.A.S., Les Parias de Ceylan, Paris: Plon, 1971, 256 pp.
1972
BIARDEAU, Madeleine, Clefs pour la pensée hindoue, Paris: Seghers, 1972, 253 pp.
DU PAVILLON, Berthe, Piment rouge, Port Louis: Rault, 1972, 169 pp.
DUPUIS, Jacques, L’Himalaya. Paris: Presses universitaires de France, 1972, 128 pp.
ESNOUL, Anne-Marie (ed.), Madeleine BIARDEAU, Guy DELEURY, Jean FILLIOZAT and François GROS, L’Hindouisme, Paris: Fayard and Denoël, 1972, 693 pp.
FILLIOZAT, Jean, Un Texte tamoul de dévotion vishnouite: Le Tiruppāvai d’Aṇṭāḷ, Pondicherry: Institut français de Pondichéry, 1972, 139 pp.
Tiruppāvai is considered one of the most popular and representative texts of Vaiṣṇava Tamil devotion, describing clearly on the one hand a specific mode of Viṣṇu worship and, on the other, the significant aspect of his omnipotence and majesty. It has been abundantly commented upon and translated several times into Sanskrit. The author, the poetess Āṇṭāḷ, is believed to have lived in the 9th century A.D. The text expresses, as in the case of all Tamil Vaiṣṇava devotional poetry of the Āl̠vār-s, a devotion and theological conception which predates the development of Vaiṣṇava bhakti in the western, eastern, and northern regions of India by several centuries. The Tamil text is accompanied here by an introduction and translation into French.
[AN/ARM]
Parmi les textes de la dévotion Vaiṣṇava tamoule, le Tiruppāvai est l’un des plus populaires et des plus caractéristiques, évoquant clairement à la fois un mode spécifique du culte de Viṣṇu et la conception majeure de son omnipotence et de sa grandeur. Il a été abondamment commenté et plusieurs fois traduit en sanskrit. Son auteur, la poétesse Āṇṭāl, aurait vécu au IXe siècle. Il exprime, avec toute l’oeuvre des dévots Vaiṣṇates tamouls, les Āl̠vār-s, une dévotion et une conception théologique qui anticipent de plusieurs siècles les développements de la bhakti Vaiṣṇava dans l’Ouest, l’Est et le Nord de l’Inde. Le texte tamoul est ici accompagné d’une traduction en français.
[AN/ARM]
HERZOG, Maurice, Annapurna premier 8000, Evreux: Le Cercle du bibliophile, 1972, 303 pp.
D’UNIENVILLE, Raymond, Hier, Suffren, Port Louis: The Mauritius Printing Company, 1972, 197 pp.
VIRASSAMY, Maurice, Le Petit Coolie noir, Paris: Gedalge, 1972, 220 pp.
1973
AXEL, Brigitte, Via la vie, Paris: Flammarion, 1973, 299 pp.
BIES, Jean, Littérature française et pensée hindoue: des origines à 1950, Paris: Klincksieck, 1973, 681 pp.
The basic premise of this work is to prove through exhaustive examples that India has, to a great extent, informed and influenced French literature. In essence, the writer seeks to prove that many French literary works are imbued and infused with references to Indian culture and thought. Many French authors such as Diderot, Voltaire, Lamartine, Hugo, Anquetil-Duperron, Jean-Baptiste Gentil, Sylvain Lévi, Louis Renou and André Malraux have introduced Indian thought into their writings while Indologists have gone further by translating Indian texts such as Mahabharata, The Ramayana and The Gita which has helped to promote the influence of Indian philosophy in France.
[DU]
Cette oeuvre fait une étude extensive sur l’influence de l’Inde sur la littérature française. La thèse que l’auteur avance est que le sous-continent indien a informé d’une façon concrète mais aussi subtile et abstraite la littérature française. Cette œuvre est un trésor de détails et d’exemples concrets. En passant à Diderot, Voltaire, Lamartine, Hugo, Anquetil-Duperron, Jean-Baptiste Gentil, Sylvain Lévi, Louis Renou, André Malraux, l’auteur nous montre que la philosophie indienne a inspiré ces auteurs et leurs œuvres en sont imprégnées d’allusions à la culture et à la pensée indienne. En plus, le fait que les auteurs indianistes ont commencé à traduire les textes indiens tels que le Mahabharata, le Ramayana et la Gîtâ ont aidé à répandre l’influence de la pensée indienne en France.
[DU]
DANIÉLOU, Alain, La Sculpture érotique hindoue, Paris: Buchet-Chastel, 1973, 240 pp.
DELOCHE, Jean, Les Ponts anciens de l’Inde, Paris: Ecole Française d’Extrême-Orient, 1973, 101 pp.
DURAS, Marguerite, India Song, Paris: Gallimard, 1973, 148 pp.
The final volume in Marguerite Duras’s trio of ‘Indian’ novels, set in the 1930s, is a prime example of a wider epistemological trait in 20th century French thought: ‘inspirational’ or ‘imaginative’ India. Le Vice-Consul (1966), India Song (‘texte, théâtre, film’, 1973) and La Femme du Gange (1973) ostensibly exploit an ‘Indian’ setting, yet in these enigmatic, hermetic texts, ‘India’ functions as a trope, and any attempt at authenticity in representation is positively eschewed.
As is stated in Duras’s preliminary ‘Remarques générales’ to India Song, ‘Toutes les références à la géographie physique, humaine, politique d’India Song sont fausses […;] c’est New Delhi qui est la capitale administrative de l’Inde et non pas Calcutta’ (p. 9).
The first two novels of the trilogy narrate the lives of Anne-Marie Stretter and a beggar woman, presenting essentially the same story each time but with different endings. The love story of India Song is juxtaposed with references which evoke, via literary shorthand of stereotypical ‘Indian’ images, the Indian setting: famine, leprosy and the monsoon season.
[KM]
Le dernier tome du triptyque de romans dits ‘indiens’ par Duras, est exemplaire d’une imagerie indienne dans la pensée française: l’Inde imaginaire ou l’Inde inspiratrice. Sans doute l’action du triptyque, qui se compose du Vice-Consul (1966), de India Song (‘texte, théâtre, film’, 1973) et de La femme du Gange (1973), se passe-t-il ostensiblement en Inde, mais dans ces textes énigmatiques et plutôt hermétiques, il s’agit d’une image de l’Inde qui est divorcée de la réalité indienne. D’après Duras elle-même, dans ses ‘Remarques générales’ avnat India Song, ‘Toutes les références à la géographie physique, humaine, politique d’India Song sont fausses […] c’est New Delhi qui est la capitale administrative de l’Inde et non pas Calcutta’. (p. 9) Les deux premiers tomes de son triptyque indien racontent la vie d’Anne-Marie Stretter et de celle d’une mendiante en se servant de la même histoire mais avec des dénouements différents. L’histoire d’amour, qui est le cadre narratif d’India Song, contient des références, telles que la famine, la léproserie et la mousson, qui évoquent une Inde stéréotypée.
[KM]
DURAS, Marguerite, Nathalie Granger; (suivie de) La Femme du Gange, Paris: Gallimard, 1973, 194 pp.
FILLIOZAT, Jean, Un Texte de la religion Kaumāra: Le Tirumurukār̠r̠uppaṭai, Pondicherry: Institut français de Pondichéry, 1973, 131 pp.
The Tirumurukār̠r̠uppaṭai is a Tamil text of the Sangam period. The poem is devoted to Lord Murugan (also known as Subrahmaṇya, Skanda, Kumāra…) whose cult is extremely popular in Tamil Nadu. It invokes the deity in the holy places where he resides, describing his characteristics, praising his dance in the mountains and inviting the reader to worship him. The text became extremely renowned and the object of several commentaries. It is accompanied here by a translation into French; an introduction presents the Sanskrit and Tamil names of the god, his nature and mythology as well as the Tirumurukār̠r̠uppaṭai poem.
[AN/ARM]
Le Tirumurukār̠r̠uppaṭai est un texte tamoul de la collection dite du Sangam. Le poème est consacré au dieu Murugan (également connu sous les noms de Subrahmaṇya, Skanda, Kumāra…), dont le culte est très populaire au Tamil Nadu, évoquant le dieu dans les lieux saints qu’il habite, décrivant ses caractéristiques, exaltant sa danse dans les montagnes, invitant à l’adorer. Il a connu un grand succès et a fait l’objet de plusieurs commentaires. Il est ici accompagné d’une traduction en français ; une introduction nous présente les noms sanskrits et tamouls du dieu, sa nature et sa mythologie, ainsi que le poème du Tirumurukār̠r̠uppaṭai.
[AN/ARM]
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GLOAGUEN, Philippe and Michel DUVAL, Le Guide du routard, Paris: Gédalge, 1973, 317 pp.
This is the book that launched a thousand trips: ‘Hier encore, […] les jeunes acceptaient de passer leurs vacances avec papa et maman […] Mais aujourd’hui les temps ont changé. Ils vont plus loin […] délaisser les pays limitrophes piétinés par les marées de touristes à court d’idées originales. La génération des routards est née. Aussi ce livre, plus qu’une invitation au voyage, se propose d’être le «conseiller efficace» du routard, celui qui accepte de sacrificier momentanément son confort pour partir plus loin. Le plus loin possible […]’ ([n.p.] from the Preface). It cites (p. 65) Le Monde of 11 November 1971 ‘L’Orient, mythe d’évasion d’un monde saturé d’aisance et de rationalisme, source de nouvelles richesses, s’est infiltré dans la pensée occidentale, la route des Indes s’est rouverte».
[IM]
Il s’agit du livre qui a lancé mille voyages: ‘Hier encore, […] les jeunes acceptaient de passer leurs vacances avec papa et maman […] Mais aujourd’hui les temps ont changé. Ils vont plus loin […] délaisser les pays limitrophes piétinés par les marées de touristes à court d’idées originales. La génération des routards est née. Aussi ce livre, plus qu’une invitation au voyage, se propose d’être le “conseiller efficace” du routard, celui qui accepte de sacrifier momentanément son confort pour partir plus loin. Le plus loin possible […]’ (citation tirée de l’avant-propos du guide). Le guide annonce (p. 65), par le biais d’une citation tirée du Monde (11 novembre 1971), que ‘L’Orient, mythe d’évasion d’un monde saturé d’aisance et de rationalisme, source de nouvelles richesses, s’est infiltré dans la pensée occidentale, la route des Indes s’est rouverte.’
[IM]
GOLISH, Vitold de, L’Inde impudique des maharajahs, Paris: Laffont, 1973, 278 pp.
RASPAIL, Jean, Le Camp des saints, Paris: Laffont, 1973, 408 pp.
Foremost among the imperatives for writing a longer annotation on this text was its repeated co-option by the right-wing ideologue Steve Bannon during the 2015-16 phase of the Syrian refugee crisis. Bannon used Raspail’s 1972 novel as a prophecy to attempt to sow panic about what he saw as an organised and deliberate ‘Muslim invasion of Europe’ (Breitbart News Daily, 13 November 2015).
This rhetoric of a swamping invasion is a familiar trope in extremist discourse of all kinds as it can trigger a radicalising ‘fight or flight’ response among those with existential anxiety about their identity group. Recently though, the trope has been ramped up among white identitarian French thinkers such as Renaud Camus, who wrote Le Grand remplacement, a 2012 treatise showing white Europeans being supplanted by non-whites. The perpetrator of the March 2019 Christchurch mosque killings appears to have been influenced by this idea.
Of all French books on India, Raspail’s fifty-chapter white extinction epic contains the most consistently negative portrayal of India and Indians. It also has the conspicuous distinction of depicting the greatest number of ‘les hommes du Gange’ (Chapter XVII, Location 1929) in the most inhumane way.
In 1971, in the year before the book’s publication, the Bangladesh Liberation War resulted in a cross-border refugee crisis on a par with that in Syria and Europe in 2015-16, though it was principally India that was affected. In 1970s France, influential intellectuals such as André Malraux took a pro-Bangladesh stance calling for international brigades and Mother Teresa was seen to tend to the most destitute among the displaced. Above all, the West Bengal state and union governments and civil society groups worked to alleviate the suffering with the limited resources at their disposal.
In contrast, Raspail’s text, though purporting to be set in the contemporary period, ahistorically draws on depictions of the far larger cataclysmic 1943 Bengal Famine when describing huge waves of people coming into Calcutta. Indeed, in an apparent confusion of the 1905 partition and 1971 liberation, the Ganges region is described as having a separate ‘gouvernement’ (Chapter XI, Location 1332) with its own ‘ambassadeur du Gange, très entouré, accompagné de ses collègues de l’Inde, du Bengale et du Pakistan’ (Chapter XXLVI, Location 5760). All through the text, the masses of people flow like water: ‘[u]ne cascade de corps dont le mouvement ininterompue paraissait liquide’ (Chapter XLII, Location 5192). The action starts when the Belgian consulate stops its adoption process and the masses stream on to ships moored on the Hugli with names such as ‘India Star’ (Chapter VIII, Location 1176). They immediately wrest control of them and set sail for ‘France et l’Europe comme terre promise’ (Chapter V, Location 943), hence the reference to Revelation 20:9: ‘And they went up on the breadth of the earth, and compassed the camp of the saints about, and the beloved city: and fire came down from God out of heaven and devoured them’. The omniscient narrator who can see the ‘armada du Gange’ (Chapter XVII, Location 2082), also describes a limbless ‘monstre d’enfant’ (Chapter V, Location 964) on deck of the lead ‘bateau de pariahs’ (Chapter XX, Location 2411) who is somehow mysteriously directing everything. ‘La non-violence est l’arme des multitudes (Chapter XXII, Location 2716), for Raspail, therefore, Gandhian doctrine is only a strategy of attack in ‘une guerre raciale inexpiable’ (Chapter XXIII, Location 3038).
Underpinning this text is Raspail’s existential numerical panic: ‘[n]ous sommes blancs. Que représentons-nous, au total? Sept cents millions d’individus, principalement concentrés en Europe, et cela face à plusieurs milliards de non-Blancs, on n’arrive même plus à en tenir le compte à jour’ (Chapter XVII, Location 2085). As much as the Bengali Indians are most frequently described as a subhuman excremental brown flow, the bitterest of Raspail’s bile is reserved for liberals and Republicans who want to welcome them on to French soil: ‘L’ennemi, le vrai, se trouve toujours derrière les lignes, dans votre dos’ (Chapter XXXVIII, 4483). Humanitarians are hated too: ‘[l]’un chassait les malades de nos hôpitaux pour coucher, dans des draps blancs, lépreux et cholériques. Un autre peuplait d’enfants-monstres nos écoles maternelles les plus gaies. Un autre prêchait la copulation générale au nom de la future race unique. (Chapter XIII, Location 1472). Similar rhetoric decrying a ‘fifth column’ is broadcast by Bannon (Breitbart News Daily, 15 July 2016). Raspail also criticises a ‘Pape brésilien’ (Chapter XXXII, Location 3900) who sells some of the Church’s valuables to benefit the migrants. Common humanity before God is rejected in favour of racialised Catholicism. Towards the end, ‘[q]u’arrive enfin sur la Côte d’Azur l’envahisseur venu du Gange (Chapter XVII, Location 1886), ‘Hamadura, Indien français, ou Français des Indes, comme vous voudrez, né à Pondichéry (Chapter XVIII, Location 2217), is unique among the small group of twenty whites taking up arms.
The character of Hamadura, a ‘French Indian’ who can choose his side, is Raspail’s single concession to conventional French Republican assimiliationist doctrines vectored through India. After resisting massive force, the small group are bombed by a pro-immigrant French army. According to Raspail, all around the world, from Australia to South Africa to Switzerland, so-called white nations are opened up to migration and swamped, accompanied by the clear narrative that the Gangetic hordes kill those who do not give up their living space.
This is an unapolgetically racist text that downplays the negative effects of European colonialism around the world. In a delusional way, it imagines that a professional (as opposed to conscript) French army would have been able to keep Algeria French (Chapter XXVI, Location 3238).
Yet, as is so often the case when a white man casts himself as the master of other races, co-existing with the hatred of brown people, there is a counterintuitive attraction for female Indian adolescents when these girls are seen, not as humans, but as religious icons: ‘une jeune fille tomba [dans le Gange], très belle, déesse à peau sombre (Chapter VIII, Location 1132) ‘les ponts des navires ressemblaient à ces bas-reliefs de temple si appreciés par les touristes […] rougissants mais rarement sensibles à la beauté de la sculpture et des gestes’ (Chapter XIX, Location 2379). Raspail seems to have a secondhand ahistorical knowledge of India and is willfully ignorant about how it was exploited by colonialism. This text uses the populousness of India to dehumanise it and make Indians into an active existential threat to the white population of France. The answer, sanctioned by the protagonist Professor Calguès, is to kill the Indians as soon as they arrive on French soil. The main threat to this matter-of-fact genocidal plan? Humanitarianism.
[IM]
SCHOLBERG, Henry and Emmanuel DIVIEN, Bibliographie des Français dans l’Inde, Pondicherry: Historical Society of Pondicherry, 1973, 270 pp.
VARENNE, Jean, Le Yoga et la tradition hindoue, Paris: C.E.L.T., 1973, 254 pp.
1974
BREGEON, Janine, L’Âge des loisirs, Paris: Gallimard, 1974, 106 pp.
BRUCE, Josette, O.S.S. 117 [cent dix-sept] et la bombe de Bombay, Paris: Presses de la Cité, 1974, 186 pp.
CERF, Muriel, L’Antivoyage, Paris: Mercure de France, 1974, 220 pp.
LARNEUIL, Michel, Le Dieu assassiné, Paris: Albin Michel, 1974, 218 pp.
OLIVIER-LACAMP, Max, Le Kief, Paris: Grasset, 1974, 270 pp.
SATPREM, pseud. (ENGINGER, Bernard), Par le corps de la terre ou le Sannayasin: histoire perpétuelle, Paris: Laffont, 1974, 443 pp.
SEGALEN, Victor, Siddhartha, Limoges: Rougerie, 1974, 122 pp.
VARENNE, Jean, Upanishads du yoga, translated from Sanskrit, Paris: Gallimard, 1974, 213 pp.
1975
ANNASSE, Arthur, Les Comptoirs français de l’Inde: 1664-1954, trois siècles de présence française, Paris: La Pensée universelle, 1975, 252 pp.
AVRIL, Nicole, Les Remparts d’Adrien, Paris: Albin Michel, 1975, 241 pp.
DANIELOU, Alain, Les Fous de Dieu: contes gangétiques, Paris: Buchet-Chastel, 1975, 184 pp.
DIAGOU, Jaganou, Historique du Conseil supérieur de Pondichéry: 1701-1819, Pondicherry: Diagou, 1975, 6 pp.
LAPIERRE, Dominique and Larry COLLINS, Cette nuit, la liberté: le triomphe et la tragédie de Gandhi, Paris: Laffont, 1982, 555 pp.
1976
BIARDEAU, Madeleine, and Charles MALAMOUD, Le Sacrifice dans l’Inde ancienne, Presses universitaires de France, 1976, 204 pp.
Written by two eminent French Indologists of their generation, this is a specialist book on Vedic religion and, more particularly on sacrifice, the central theme of the Brahmanas. The authors explain, analyse and provide examples of sacrifice in ancient India. Sacrifice is seen not only from the sociological point of view, in the manner of Emile Durkheim’s disciples, Henri Hubert and Marcel Mauss, but in a more complex way, which includes the philosophical method. The authors wear their scholarship lightly and maintain a pragmatic and accessible style in this book.
[MI]
Rédigé par deux éminents indianistes français de leur génération, c’est un livre spécialisé sur la religion védique, et, plus particulièrement sur le sacrifice, le thème central des Brahmanes. Les auteurs expliquent, analysent et apportent des exemples de sacrifice dans l’Inde ancienne. Le sacrifice est considéré non seulement du point de vue sociologique, à la manière des disciples d’Emile Durkheim, d’Henri Hubert et de Marcel Mauss, mais d’une manière plus complexe, en y intégrant une méthode philosophique. Les auteurs portent leur étude à la légère et conservent un style communicatif et pragmatique dans ce livre.
[MI]
BOULANGER, Robert, Inde, Népal, Bhutan, Ceylan (Sri-Lanka), Paris: Hachette, 1976, 810 pp.
ELIADE, Mircea, Histoire des croyances et des idees religieuses. I, De l’âge de la pierre aux mystères d’Eleusis. II, De Gautama Bouddha au triomphe du christianisme, 2 vols, Paris: Payot, 1976, 1,019 pp.
GLACHANT, Roger, Suffren et le temps de Vergennes, Paris: Editions France-Empire, 1976, 429 pp.
GLOAGUEN, Philippe and Michel DUVAL, Le Moyen-Orient, Inde, Paris: Hachette, 1976 [1973], 223 pp.
MERLE, Robert, Madrapour, Paris: Seuil, 1976, 318 pp.
1977
DANIELOU, Alain and Raymond BURNIER, Le Temple hindou: centre magique du monde, Paris: Buchet-Chastel, 1977, 169 pp.
DAVIES, Simon, (Chevalier de Boufflers), Aline, reine de Golconde, Exeter: University of Exeter Press, 1977, 29 pp.
DUMEZIL, Georges, Les Dieux souverains des Indo-Européens, Paris: Gallimard, 1977, 268 pp.
MONTAGU, Thierry, Routes à gogos, Paris: Flammarion, 1977, 206 pp.
VINCENT, Rose, Mohini ou l’Inde des femmes, Paris: Seuil, 1977, 189 pp.
1978
DEROO, André, Aller simple pour Pondichéry, Paris: Téqui, 1978, 237 pp.
DORE, Francis, La Vie indienne, Paris: Presses universitaires de France, 1978, 127 pp.
1979
BALBIR, Nicole, Madeleine BIARDEAU, Jean BOISSELIER and Colette CAILLAT, Le Monde indien: religions et civilisation, Paris: Larousse, 1979, 255 pp.
BRAHMA, Pierre, La Malle des Indes, Paris: Julliard, 1979, 406 pp.
CAUVIN, Patrick, Huit jours en été, Paris: Lattès, 1979, 233 pp.
CHALLES, Robert, Frédéric DELOFFRE and Melâhat MENEMENCIOGLU (ed.s), Journal d’un voyage fait aux Indes orientales: 1690-1691, Paris: Mercure de France, 1979, 662 pp.
DANIELOU, Alain, Shiva et Dionysos: la religion de la nature et de l’Eros, de la préhistoire à l’avenir, Paris: Fayard, 1979, 336 pp.
DELOCHE, Jean, Les Mémoires de Wendel sur les Jat, les Sikh et les Pathan, Paris: Ecole Française d’Extrême-Orient, 1979, 186 pp.
DUMONT, Louis, Homo hierarchicus, le système des castes et ses implications, Paris: Gallimard, 1979, 509 pp.
DURAS, Marguerite, Son nom de Venise dans Calcutta désert, Paris: Avant-scène, 1979, 66 pp.
GUILLEBAUD, Jean-Claude, Un voyage vers l’Asie, Paris: Seuil, 1979, 189 pp.
HUMBERT, Marie-Thérèse, À l’autre bout de moi, Paris: Stock, 1979, 462 pp.
LACOMBE, Olivier, Indianité: études historiques et comparatives sur la pensée indienne, Paris: Les Belles Lettres, 1979, 209 pp.
MOUTOUSSAMY, Ernest, Il pleure dans mon pays, Fort-de-France: Désormeaux, 1979, 196 pp.
TAILLEUR, Georges, Chandernagor ou Le Lit de Dupleix, Montpellier: Africa Nostra, 1979, 125 pp.
<1960-19691980-1989>
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